ERNST Max, La main verte, 1923

Max Ernst, Sans titre ( peinte de la de Paul Eluard à Eaubonne), 1923, 205 x 79 cm, Sprengel Museum, Hannover,

Max Ernst. La verte, 1923, 40 x 65 cm. Sprengel Museum, Hannover, . Élément de de la de Paul Eluard à Eaubonne.

© Max Ernst © Jean louis mazieres photographie 1 et 2 sous licence CC BY-NC-SA 2.0

Autre reproduction complète de l’oeuvre () et main

« Max Ernst les avait peintes en 1923 dans la d’Eaubonne de Paul Eluard, qui l’avait hébergé peu après son arrivée en France. La changea de propriétaire, les fresques furent d’ailleurs recouvertes de et personne ne songea plus à ces traces d’enchantement surréaliste qui furent un jeu pour Max Ernst. L’épisode d’Eaubonne était peu connu d’ailleurs et ne semble être resté que dans la des intimes d’Eluard… jusqu’au jour où – il y a moins de deux ans – quelque pisteur astucieux se souvint que Max Ernst avait séjourné à Eaubonne où Paul Eluard lui avait livré, avec l’hospitalité, les murs même de sa .

Un Max Ernst est un Max Ernst : les œuvres qui ont parfois des teintes de fresquistes italiens ont été, à la suite d’un formidable de restauration détachées des murs et reportées sur . Les voilà pourvues de beaux cadres anciens, tels des tableaux. Il y a même une , retirée de ses gonds, sur lesquels elle pivotait, et promise à l’immobilité du tableau… à moins qu’elle n’en retrouve d’autres un jour. »

https://www.lemonde.fr/archives/article/1969/06/05/les-max-ernst-de-la-maison-d-eluard_2418665_1819218.html