PIGNON-ERNEST Ernest

Ernest PIGNON-ERNEST (1942 – ) France

Artiste autodidacte, il quitte l’école à 15 ans et dessine des plans dans un cabinet d’. Il découvre le de Pablo Picasso qui le marque fortement et en particulier l’oeuvre Guernica. Il réalise ses premières oeuvres éphémères, installées dans l’ urbain en 1966.

PIGNON-ERNEST Ernest, David et Goliath (d’après Caravage) avec les têtes tranchées de Caravage et de Pasolini, Naples, vico Seminario dei Nobili, 1990
Ernest PIGNON-ERNEST, David et Goliath (d’après Caravage) avec ...
PIGNON-ERNEST Ernest, Pier Paolo Pasoloni Pieta, 2015, Rome
Ernest PIGNON-ERNEST, Pier Paolo Pasoloni Pieta, 2015, Rome ...

RESSOURCES

Site de l’artiste :

http://pignon-ernest.com/

Podcasts :

Diverses émissions consacrées à Ernest PIGNON-ERNEST sur France culture et France inter :

https://www.franceculture.fr/personne/ernest-pignon-ernest

https://www.franceinter.fr/personnes/ernest-pignon-ernest

Citations :

« J’essaie de faire de la rue une œuvre d’art, beaucoup d’artistes de street art ne font pas ça, ils considèrent la rue comme une galerie » Ernest PIGNON-ERNEST (France culture)

« Au début il y a un lieu, un lieu de vie sur lequel je souhaite travailler. J’essaie d’en comprendre, d’en saisir à la fois tout ce qui s’y voit : l’, la , les couleurs… et, dans le même ce qui ne se voit pas, ne se voit plus : l’histoire, les souvenirs enfouis, la charge symbolique… Dans ce lieu saisi ainsi dans sa complexité, je viens inscrire un élément de , une (le plus souvent d’un à l’échelle 1). Cette insertion vise à la fois à faire du lieu un et à en travailler la , en révéler, perturber, exacerber la symbolique…». Ernest PIGNON-ERNEST, Interviewé par André Velter, (source : https://www.franceculture.fr/emissions/les-nuits-de-france-culture/ernest-pignon-ernest-je-marche-beaucoup-la-nuit-le-jour-pour)

« J’utilise le , l’, la . J’essaie de faire de la rue une œuvre, alors que la plupart des gens du street-art font de la rue une galerie, un lieu d’. » Ernest Pignon Ernest

source : https://www.radiofrance.fr/franceinter/ernest-pignon-ernest-l-art-de-reveler-l-invisible-sur-les-murs-des-villes-du-monde-7611136

« Mes œuvres, ce ne sont pas mes dessins, c’est ce que provoquent mes dessins dans les lieux dans lesquels je travaille. Et dans cette réalité là, je viens glisser un élément de . Cet élément de , c’est mon « . Ernest Pignon Ernest

source : https://www.radiofrance.fr/franceinter/ernest-pignon-ernest-l-art-de-reveler-l-invisible-sur-les-murs-des-villes-du-monde-7611136

présent sur la page « Artistes » : (recadrée) de Alain D. Amiel sous licence CC BY-SA 4.0 (source : wikimedia)

« Ma ce sont les lieux, les lieux et leur histoire. Je tente d’en capter, d’en comprendre l’, la , la des murs, leurs textures, c’est-à-dire, en et en sculpteur d’appréhender tout ce qui s’y voit. Et simultanément d’en saisir aussi et surtout tout ce qui ne s’y voit pas, ne s’y voit plus: l’histoire, la enfouie. Mes images naissent de cette investigation et leur insertion dans ces lieux vise à en faire des espaces plastiques et poétiques, et par ce qui est figuré à en révéler, perturber… exacerber le sens et la symbolique, la force suggestive. On a dit souvent que je faisais des œuvres en situation. En fait, je fais œuvre des situations. » Ernest Pignon-Ernest

https://www.fonds-culturel-leclerc.fr/actualit%C3%A9s-exposition-ernest-pignon-ernest-893-274-0-0.html

Relation / :

« […] toutes mes interventions reposent sur l’insertion de l’ du , de l’humain dans un lieu. Ce lieu, comme une , j’essaie d’en saisir autant les qualités plastiques (, rythmes, couleurs, matières, lumières…) que celles qui ne sont pas visibles, c’est-à-dire leur potentiel symbolique, leur force suggestive, leur histoire
C’est nourri de tout ça que j’élabore ces dessins de . Ils ne sont conçus que dans la de leur inscription dans un lieu spécifique, comme s’ils en étaient nés. » Ernest Pignon-Ernest

https://www.artpress.com/2002/03/01/ernest-pignon-ernest-faire-quotoeuvrequot-des-situations/