MITCHELL Joan

Joan MITCHELL (1925 – 1992) USA

« Quoique ses œuvres soient abstraites, et ce, dès 1951, elle se décrit comme une « visuelle », à la de la sensation. La qu’elle met au point dans cette période, large, lumineuse, énergique, s’appuie sur l’exemple de la , dans laquelle la joue un rôle essentiel. « Je peins des paysages remémorés que j’emporte avec moi, ainsi que le des sentiments qu’ils m’ont inspirés, qui sont bien sûr transformés… », dira-t-elle. Si son créatif est lent, œuvre de J. Mitchell se reconnaît à sa graphie hâtive, à la expressive, à la éparse et fourmillante, au chromatisme acide, au méditatif, au du . Schneider parle aussi de « navette perpétuelle entre l’ et l’extériorité ». Scarlett Reliquet

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« L’ n’est pas un style. simplement faire qu’une fonctionne. C’est juste une utilisation de l et de la , une de formes et de l’. Le style en a à voir avec les étiquettes. Beaucoup de peintres sont obsédés par la volonté d’inventer quelque chose. Quand j’étais jeune, ça ne m’a jamais effleuré d’inventer quelque chose. Tout ce que je voulais, c’était peindre. » Aline Dallier-Popper

Aline Dallier-Popper, Art, , post-, Un de d’art, L’Harmattan, , 2009

présent sur la page « Artistes » : appartenant au domaine public Auteur inconnu — 1942 Francis W. Parker School yearbook, approx. p. 50 (unpaginated), via Ancestry.com