MOORE Henry, Two Large Forms, 1966-69

MOORE Henry, Two Large Forms, 1966-69, Yorkshire Park

© Henry Moore. © 1 : deadmanjones sous licence CC BY-NC 2.0 – 2 : Amanda Slater sous licence CC BY-SA 2.0 – 3 : stu smith sous licence CC BY-ND 2.0 – 4 : John Reynolds sous licence CC BY-NC-ND 2.0 – 5 : Tim Green sous licence CC BY 2.0

« Large Two Forms, réalisée en 1966, alors que l’artiste était septuagénaire, fait partie de diverses d’œuvres monumentales tardives créées lorsque son succès exceptionnel lui permettait de réaliser des sculptures en très ambitieuses pour l’. » John Reynolds

« Dans son , Henry Moore possédait une vaste de pierres, de coquillages, de cailloux et d’os auxquels il se référait constamment pour trouver l’inspiration. Il était fasciné par leurs formes, leurs textures et la façon dont elles montraient les signes d’années de façonnage et de par les forces naturelles, y compris le . Leur influence visuelle est perceptible dans les lignes ondulantes des deux grandes formes qui se déplacent et changent au fur et à mesure que l’on autour d’elles, semblant parfois solides puis s’ouvrant soudainement pour révéler des trous qui encadrent le magnifique au-delà. La relation entre les formes pourrait se lire comme une articulation à rotule, avec la façon dont elles s’emboîtent dans le central. De même, elles ressemblent à des pierres arrondies, usées par les incessants chocs de l’eau, ou aux ouvertures de l’entrée d’une . Moore fait souvent référence à ce sentiment de découverte sans fin du monde naturel. » John Reynolds

Citations :

« La est un art de plein-air. La du jour et, pour moi, son meilleur cadre et son complément, c’est la nature » Henry Moore

source : L’aventure de l’art au XXe siècle, dir. par Jean-Louis Ferrier, 1995, édition du chêne, 959 pages

« Je préfère voir ma dans un , même indifférent, plutôt que dans le plus beau bâtiment. » Henry Moore

source : L’aventure de l’art au XXe siècle, dir. par Jean-Louis Ferrier, 1995, édition du chêne, 959 pages