VAN de WALLE Marie

Marie Van de WALLE, née en 1994

Marie Van de Walle est née en Picardie. Après des études en Histoire de l’Art à la Sorbonne, elle continue son cursus, notamment à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles dans les ateliers d’arts-textiles et de . L’artiste élabore de nouvelles matières végétales pour questionner nos relations avec le et contribuer à transformer sa . Par une approche sensible basée sur l’observation et l’, elle élabore des mixtures à base de plantes (feuilles et fleurs) qu’elle glane. Dans son , elle utilise également des techniques textiles (, crochet, ) pour faire œuvre. Le de la et son exploitation sur le plan narratif sont au de ses recherches.

Gautier Dirson (texte sous Licence CC BY NC – Source : https://marievandewalle.com/a-propos/)

Marie Van de Walle « joue sur des effets de trouble et de tromperie de la pour mieux nous questionner, interroger notre rapport au et aux cycles. Ces matières sont fragiles, elles sont instables et évoluent en avec leur milieu {…]. »

https://marievandewalle.com/a-propos/

« Elle ses mixtures à des plantes sauvages cueillies et laisse se déployer les micro-organismes. Elle expose ses expériences, en tire des photographies, crée des installations de tissus souples cousus et tissés sur lesquels des éléments naturels continuent leur évolution. La jeune artiste se situe dans la lignée de l’art textile des années 1970. Ses installations font se rencontrer les recherches plastiques de Marinette Cueco et l’art d’Eva Hesse. Son ancrage dans des réflexions contemporaines scientifiques et philosophiques la rapproche des expérimentations plastiques à l’oeuvre dans les sculptures distordues de Daiga Grantina et les œuvres évolutives de Bianca Bondi. » Aude de Bourbon Parme, « Marie Van de Walle, Un art de la  » in Watch this space 11, https://issuu.com/50degresnord/docs/wts11

« Le artistique de Marie Van de Walle questionne le rapport de l’ à son environnement par un microscopique sur les choses. Sa pratique s’est développée par un engagé des matériaux. Ses recherches l’amènent vers la de matières végétales, dégradables, vers des « biomatériaux » et notamment le bioplastique qu’elle affectionne particulièrement pour son ambivalence : une esthétique synthétique et des propriété végétales. » https://urlz.fr/cNIT

RESSOURCES

Problématiques

Comment le peut-il impulser une dé de
Comment tirer parti de l’imprévu dans une dé de
Comment l’œuvre dialogue-t-elle avec le lieu dans lequel elle s’inscrit ?
En quoi une  peut-elle avoir comme fondement les transformations induites par la  ?
En quoi l’utilisation d’une non artistique peut-elle contribuer à faire œuvre ?

Podcast
http://radiocampusamiens.fr/podcasts/info/ICS%20CULTURE%20SAUVAGE.mp3?fbclid=IwAR2g_y1EP5NHgOYHJw8Vfn5p7i2cpkSrH7IQaPi1SlAIRSMAPKL9F98i77k


« Culture sauvages » au FRAC Picardie Amiens ( personnelle du 14 janvier au 26 février 2022)

http://www.labete-mag.com/LaBete-Mag-WP/artistes/arts-visuels-artistes/saint-fuscien/les-mises-en-boite-de-marie-van-de-walle/

https://www.amiens.fr/Actualites/Gelifiant-!

Site de l’artiste

https://marievandewalle.com

( par l’artiste de sa dé)

https://ne-np.facebook.com/Frac-Picardie-328371667515427/videos/cultures-sauvages-nous-commencerons-lann%C3%A9e-2022-avec-une-exposition-de-lartiste-/1500615883644184/

Autre

Instagram (photographies et autres ressources) : https://www.instagram.com/marie_van_de_walle_/?utm_medium=copy_link

Portrait présent sur la page “Artistes” © Clément CHERVIER, création numérique sous Licence CC BY NC, réalisée à partir du non référencé trouvé ici)