MIGNONNEAU & SOMMERER, Interactive Plant Growing, 1992

Laurent MIGNONNEAU & Christa SOMMERER, Interactive Plant Growing, 1992, interactive.

© Laurent MIGNONNEAU & Christa SOMMERER © Ars Electronica sous licence CC BY-NC-ND 2.0

En découvrant cette interactive, le spectateur peut toucher des plantes réelles comportant des capteurs. Cette génère l’, la et la de plantes virtuelles grâce à une et à l’utilisation d’algorithmes et à la vidéoprojection sur un grand écran. Après un de découverte, en manipulant les plantes servant d’, le visiteur peut donc contrôler en la de ces plantes numériques, de synthèse.

Clément Chervier ( sous Licence CC BY NC)

Citation :

« En produisant une sensible avec les plantes réelles, le visiteur fera partie intégrante de l’. Il peut voir sur l’écran é l’influence de ses gestes, en observant la pousse de ces plantes synthétiques.

[Ces plantes de synthèse] peuvent pousser en trois dimensions par une série de rotations, de variations de tailles et de couleurs […]la pousse artificielle se déroule en dans l’ de l’ordinateur.

Le visiteur peut arrêter, continuer, déformer, développer les plantes, pour former de nouvelles combinaisons et variations de plantes. Le de est donc très flexible, il n’est pas prédéterminé, et l’ résultante sur l’écran est toujours différente, car elle dépend entièrement de l’ entre les visiteurs et les plantes. »

http://www.artwiki.fr/cours/technoromantisme/sommerer_mignoneau.html

Ressource :

https://www.youtube.com/watch?v=Obwp07_phmA

https://vimeo.com/153617405

https://digitalartarchive.siggraph.org/artwork/christa-sommerer-laurent-mignonneau-interactive-plant-growing/ (analyse, , plan…)

Problématique :

Comment une production artistique peut-elle se jouer de la distinction entre et virtuel ?